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  • : Voyages et escapades de Sag La Tortue
  • : Carnet de voyage: tour du monde 2013-2014, tour de Bretagne à vélo, randonnées...
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Tour du monde 2013-2014 et autres voyages

 

2014-09-28 16.53.17

 

 

Tour de Bretagne à vélo -juin 2014

Tour du massif des Ecrins en rando -juillet 2014

Rando dans la Vanoise - août 2014

Rando dans le massif du Pilat - août 2014

Rando dans le Morvan - septembre 2014

 

 

My round the World TourJuly 2013- April 2014

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Southern Africa: South Africa, Namibia, Botswana, Zambia, Zimbabwe, Mozambique

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South East Asia: Thailand, Burma, Cambodia, Malaisia, Singapore, Indonesia

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North America: USA: New Hampshire, Boston, NYC!

 

 


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Introduction

4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 05:35

Le bonheur simple de se réveiller dans ma tente sans condensation. J’ignore quelle est vraiment la cause physique qui explique que parfois il pleut dans ma tente le matin, et que parfois, elle soit aussi sèche que le sol est dur.

Le rituel habituel : s’habiller en se tortillant, sortir de la tente, rouler le duvet, rouler le matelas, emballer les polaires, anoraks et autres objets. Au début, c’est compliqué : il faut penser aux affaires qui doivent rester accessibles, à celles, plus lourdes que je dois mettre au fond du sac. Et puis, avec l’expérience, je prends du plaisir à me réveiller dans ma mini maison de tortue, à plier bagage et à reprendre la route.

Vous expliquer ce qui s’est passé pendant deux jours n’est, je pense pas possible.

Nous prenons la route 66, la grosse route en rouge sur la carte, la fameuse route qui n’existe pas… La piste en dur, avec cette terre rouge et cette poussière qui rentre partout se transforme petit à petit. On avance

« On avance, on avance, on avance.
C'est une évidence :
On a pas assez d'essence
Pour faire la route dans l'autre sens.
On avance.
On avance, on avance, on avance.
Tu vois pas tout ce qu'on dépense. On avance.
Faut pas qu'on réfléchisse ni qu'on pense.
Il faut qu'on avance. » Souchon

La piste devient terrain de VTT. Moi qui ne connais pas ce plaisir, je m’éclate ! J’essaie de faire attention à mes sacs trop bas à l’arrière, au poids qui me fait déraper dans le sable, à la boue qui va salir mes sacs poubelle. Je découvre une nouvelle façon de faire du vélo et ça me plait. À ce moment, je fonce, je pédale dur dans le sable, je ne veux pas mettre le pied par terre, je me sens comme au Dakar en train de braver le terrain hostile. I feel very strong !

Sur la piste, on croise deux motards en cross avec leur Go pro, le type me fait de grands signes : « souriez ! Vous êtes filmée ! » Les paysages changent vite, passant de la jungle à la forêt, aux champs. Toujours ces saluts venus de partout.

Je m’éclate  sur les trous, les bosses, le gravier. Je persévère, j’appuie plus fort sur la pédale. Il y a un côté grisant à parvenir à traverser ces passages ! Parfois, la piste se resserre, il y a peu de place, juste une trace en plein milieu avec des traces deux côtés, les longues trainées des tracteurs qui ont tassé la terre. Je suis lancée, je m’amuse avec le terrain. Je tombe une fois gentiment. Je tombe plus fort. Le vélo est sur moi. Je commence à fatiguer, mais c’est bon. Je suis là, au bout du monde et je découvre le tout terrain !

Quand même, après avoir traversé plusieurs minuscules villages où les gens veulent nous refiler leur môme, on se dit qu’on ne va pas arriver quelque part. Nous réalisons que nous sommes perdus ! Aucune importance ! Je rappelle à François que j’ai acheté un paquet de pates cuisson rapide. Et oui, logistique oblige, il reste peu de gaz, donc la cuisson rapide est une bonne option ! Il nous faut de l’eau en revanche.

François repère un abri de berger. Quelques mètres plus loin, nous trouvons une maison avec de l’eau. Des jarres d’eau. Nous prenons un seau et avons notre réserve de luxe d’au moins 20 litres. Des passants nous aident. Nous croyons qu’ils vivent là. Pas du tout ! Ils passent juste. Incroyables Cambodgiens ! Dans la journée, nous avons croisé peut-être 10 personnes. Nous ne savons pas où nous sommes, mais je sais que je suis bien où je suis !

À boire, à manger, un lieu pour dormir et même, ô luxe suprême, suffisamment d’eau pour me prendre une douche sous les étoiles. Se sentir seule au monde, avoir galéré toute la journée, être perdue quelque part loin, loin, c’est une expérience extraordinaire ! Il est temps de jouer à Robinson Crusoé : j’ai toujours adoré faire du feu et j’en profite pour me faire plaisir. Presque plus de gaz : pas de problème, j’allume un beau feu.

C’est ma petite madeleine de Proust : chercher et couper du bois, allumer un feu avec presque rien au milieu de la forêt, couper les branches avec mon genou… François me conseille quand même vivement d’arrêter d’abîmer mon genou pour couper le bois ! (Paradoxalement, ce sont les cordonniers les plus mal chaussés quand je vois l’état de ses jambes à lui)

Ma douche à la belle étoile est fabuleuse ! Embourbée, salie, suante, collante… Les herbes folles me servent de rideau de douche, et malgré l’absence de pommeau, j’admire la beauté du ciel étoilé en prenant ma douche en plein air ! À poil sous les étoiles, s’arroser d’eau froide et passer le savon sur les couches de crasse est un pur bonheur !

Je monte ma tente sous l’abri, mais ce soir, je laisse la porte ouverte pour m’endormir avec la vue sur le feu qui crépite.

Quelque part perdue entre « Ou » et « Ta seing », je trouve que mon aventure tourne à l’expédition. Nous n’avons pas grand-chose à manger. Le matin, j’aime bien finir les pâtes ou le riz de la veille. Le sucré, ce n’est pas mon truc. Mais quand je retrouve un paquet de gâteaux, François est content de pouvoir agrémenter son café de biscuit.

Il nous faut repartir.

La journée me parait interminable. D’autant plus que nous ne savons pas où nous sommes. Et aussi parce que nous n’avons pas à manger, que nous ne croisons personne, qu’il n’y a pas de village, que l’eau commence à se faire rare.

Tout à coup, je ressens intensément cette sensation nouvelle d’être VRAIMENT perdue. Et si nous devions rester 3 ou 4 jours dans cette forêt sans fin ? Je suis fatiguée. La piste avec ses bosses m’amuse moins. Le sable trop présent m’oblige à pousser le vélo sur des kilomètres. Je râle ! Je suis venue pour pédaler et non pas pour pousser la bicyclette à côté de moi ! Je n’en peux plus. J’ai soif ! Le ciel est toujours aussi bleu, les oiseaux chantent toujours aussi bien. Mais, j’en ai marre ! François a faim. Moi, j’ai soif !

Et rien, toujours rien.

Il faut continuer. D’un côte, je ne me fais pas vraiment de souci au fond. Je sais que nous avons un paquet de nouilles chinoises et quelques réserves d’eau de jarre. De l’autre, je sens que j’aimerais retrouver un camion qui passe à toute allure, un village où il faut lancer mille « hello », n’importe quel bouiboui où l’on pourrait manger une assiette de riz, un petit signe que nous ne sommes pas perdus et que nous ne tournons pas en rond.

Le temps n’en faisant qu’à sa tête, il arrive 16H… Toujours rien. Nous entendons loin, bien loin de la musique. Nous voyons des poules. S’il y a des poules ou des chiens, cela signifie qu’il y a des hommes ! Je me motive, je me force, je pousse mes limites. Pas les limites physiques. Je vais bien. J’ai des réserves et je ne suis pas fatiguée tant que ça. Mais je lutte avec mon moral. « avancer, avencer, avancer » J’insulte ce sable qui m’emmerde. Je m’encourage de toutes mes forces, je me dis que je vais y arriver.

Soudain, au bout d’un chemin qui se fait plus joli et plus accueillant, nous enfourchons à nouveau nos fidèles vélos, et nous retrouvons une piste. Une route qui semble large, belle, empruntée. Il n’y a personne, mais sur une piste aussi belle, nous allons forcément croiser quelqu’un !!! Le soulagement, le bonheur, l’euphorie d’une telle découverte sont indescriptibles. Sincèrement, mon énergie remonte ! Il est 17h passé, il fait bientôt nuit, mais je me sens tout à coup capable de pédaler des heures sur une piste aussi belle et bienveillante !

Nous arrivons sur un chantier de construction de route.

Oui, nous sommes arrivés à Ta Seing ! Oui, nous avons emprunté la bonne piste ! Wouah ! STOP bière ! oui, obligé, le réconfort de retrouver au moins une centaine de maisons et des gens bien vivants me redonne vie ! Ça y est ! On y est ! Au milieu de nulle part, mais arrivé !

En faisant des courses pour notre diner du soir, nous rencontrons à nouveau le chef du chantier de construction de route qui nous invite à camper… Sur le chantier bien sûr ! C’est reparti ! 1 km de nuit sur le sable ! Je dois avouer que j’ai bien aimé ! Pédaler dans le noir sans savoir ce qui arrive comme route ! Un peu comme skier par journée blanche ! Je me trouve parfois bien téméraire !

Nous avions prévu de nous faire notre repas, mais nous sommes invités à partager le diner des ouvriers. Le chef de chantier offre le vin cambodgien, une espère ce sake ou soju, alcool de riz assez fort et insipide. François se laisse prendre au jeu, tandis que je vais prendre encore une douche régénératrice sous les étoiles et derrière les pelleteuses ! J’adore mon voyage !

Je me réveille dans l’humidité habituelle de ma tente qui a le temps de sécher pendant le petit déjeuner. Les deux femmes du chantier sont là. Elles nous servent un délicieux riz au lard tandis que celle qui est enceinte de 6 mois part chercher du bois et le coupe à la hache devant nous !

Aujourd’hui, nous rencontrons deux Suisse qui font le tour du Cambodge à moto. Ils nous donnent les indications pour atteindre Stung Treng. L’un d’entre eux connait bien le pays et nous dit que la route 66… Il l’a cherche encore… Nous reprenons la piste sous le soleil.

Ça commence à monter pour moi. Le paysage change. On atteint les sommets du Cambodge : au moins 350 mètres ! Je suis épuisée dès qu’il y a une petite montée. François est à son aise. Parfois, je ne peux même plus admirer le paysage, car je lutte. Je pousse, je n’avance pas. Je m’énerve, je m’engueule, je pousse. Je sais que dans 200 mètres, ce sera la descente ! Décidément, je pense que je ne suis pas faite pour les montées ! Sur le plat, je roule avec plaisir, mais dès qu’il faut faire des efforts, il n’y a plus personne !

Toujours est-il qu’après peut-être 50 ou 60 km, nous arrivons dans un village où nous parvenons au bout de 30 minutes à acheter du riz. Ce soir, diner au pied du temple ! Quelle chance ! Il y a du bois tout prêt, il y a une table et même un abri fait de plastique ! Le lieu idéal quoi ! Comme d’habitude, je prends un grand plaisir à faire le feu ! C’est assez sale. Un rat vient faire ses courses dans les parages, il y a des détritus partout, et je n’aurais pas de douche ce soir, mais qu’importe, me reposer à côté du feu suffit à ma satisfaction !

J’aime l’odeur du feu ; j’aime manger par terre avec les fourmis ; j’aime regarder les étoiles ; j’aime me dire que je suis quelque part au bout du monde et que « le temps n’a pas d’importance, ce qui compte, c’est la vie » (Cinquième élément, Luc Besson)

Un plaisir encore plus grand : rallumer le feu le matin au réveil ! Je me réveille. Je sais qu’il est tôt : le jour est présent mais le soleil pas encore levé. Du coup, je me lève vite pour regarder s’il reste de quoi faire revivre le feu sans utiliser une allumette. Vite, je remets du bois sur les braises et fais chauffer l’eau pour le café ! Comme d’habitude, je finis le riz de la veille tandis que François avale des biscuits secs sans goût !

Nous retrouvons la route goudronnée. Le Cambodge change. Les routes se construisent tout du long. Les Chinois sont là, partout. À notre pause déjeuner dans un petit village, un homme vient nous parler dans un bon français. Sauf le « tu es de quelle race ? » Pour : de quel pays venez-vous ? Il nous donne des indications sur la direction à suivre. Monsieur No est un ancien instituteur qui parle français.

Nous repartons. Quelques côtes que je surmonterai. Des klaxons pour se signaler. Des « hello » « orkun » (bonjour Cambodgien)  à tout va. Des maisons à pilotis. Des paysages un peu vallonnés.

En arrivant en Asie, je pensais assez passer inaperçue. Et pourtant ! Pourtant, ce n’est pas François, le blanc, qui rafle le concours de dévisageage ! En scooter, les gens se retournent pour mieux me voir ! Il y en a un qui se retourne tellement longtemps qu’il a failli rentrer dans le vélo de François qui roulait devant ! Cet étonnement, je le retrouve partout. Sans savoir exactement l’interrogation que je peux provoquer chez les gens, je me rends bien compte qu’il y a quelque chose de vraiment inhabituel. Je suis trop blanche, trop riche, trop autonome, je crois. On me demande si je suis japonaise ou coréenne. Parfois, François n’arrive pas à expliquer que l’on vient de France. Les gens ne connaissent pas. En revanche, si je dis que je suis de Corée, cela parle beaucoup aux gens. Ils me demandent immédiatement si je viens du Nord ou du Sud. Question, par ailleurs, un peu inutile puisqu’il y a si peu de gens du Nord de la Corée qui sont autorisés à sortir de leur pays !

Un peu plus aguerris par nos jours de forêt, nous prévoyons les courses pour le soir sans attendre un hypothétique prochain village, nous faisons nos achats avant la tombée du jour ! Et nous saurons le lendemain que nous avons vraiment bien fait, car il n’y aura pas de prochain village avant bien des kilomètres !

Je décide de dormir sans la tente, mais sous l’abri et près du feu. Je me sens une âme téméraire ! Allez, je dors sans ma maison ! Tout de même, je fabrique ma chambre de princesse avec mon matelas, mon duvet et mon oreiller (je me sers de mon pantalon de rechange comme d’oreiller !). Chacun son luxe dans le bush. François dort à même le sol, mais je sens que j’ai besoin de mon confort sommaire. Mon matelas thermarest me parait d’un confort suprême !

Le lendemain, en route ! Nous traversons Praeh Vihar et Tbeang Manchey, mais ne trouverons jamais le village de « Pou ». Encore une belle nuit sous un abri de fortune rempli de déchets.

La route pour rejoindre Stung Treng est belle. De plus en plus de circulation, c'est-à-dire un pick up toutes les heures nous confirme que nous prenons la route du Nord. Ce soir, nous faisons le marché. Toujours aussi dévisagée, je m’habitue. J’aime cette sensation d’être dans un autre monde. Nous passons à côté de nombreux mariage, nous nous arrêtons pour manger dans la fosse à égout qui pue et déjeuner pas loin des cochons.

Ce soir, c’est la forêt qui nous accueille. Pas d’abri. Rien. Un site de travaux où personne ne vient. Ce soir, pour la première fois de ma vie, je vais dormir complètement à la belle étoile. Mon hôtel 100000 étoiles est là devant moi. Je fais un grand feu avec du bois mort et sec qui brûle à toute allure. C’est génial, d’autant plus que je fête, un peu au hasard, mes 1000 bornes ! Ma nuit sera humide, froide et courte, mais je m’endors avec mon ciel étoilé et du bonheur plein la tête.

31 décembre.

Réveillée à 3h du matin par l’humidité, je relance le feu et me rendors sur le gravier tout près du feu. Je pensais partir tôt, mais je dois changer ma chambre à air pendant que nos affaires trempées par l’humidité de la forêt sèchent auprès du feu. Première fois en situation réelle de changement de chambre à air. Heureusement que François gère. J’apprends. Tant mieux, j’en aurais une deuxième à changer dans la journée !

Tout le long de la route, de gros travaux. Ils installent des canalisations et sur des kilomètres, des travaux. Des travaux aussi sur la route : les Chinois construisent des routes partout.

Depuis deux jours, je sens une douleur dans les genoux au pédalage. J’essaie une autre position de mes pieds sur les pédales. François dit qu’on gagne 30% d’énergie en pédalant avec la pointe des pieds. Je m’essaie à la nouvelle technique. Il va falloir que je prenne des cours de vélo bientôt ! Je ne sais pas si ça marche, mais ça fait plus mal aux tibias ! Et j’ai toujours cette impression de rouler au ralenti dans les faux plats. Ah !!! ces problèmes de voyageurs ! Quelle plaie !

2km avant l’arrivée à Stung treng, je crève. Cette fois, efficaces, à deux, nous mettons 15 minutes à tout changer ! Quelle équipe !

Ça descend. Ça sent l’arrivée.

J’accélère. Je sais qu’on est proche. Et tout à coup, il est là : le Mékong ! Etrange sentiment dans cette fin d’après-midi d’atteindre plusieurs buts. Ce but de la journée d’arrivée à Stung Treng où nous voulons passer le nouvel an. Ce but depuis mon circuit à vélo de parvenir à cette rivière qui fait rêver. Ce but plus global de relier cette étape dans mon voyage ! Soudain, j’y suis. Après s’être perdue dans la forêt, après avoir douté, après l’avoir imaginé, je suis sur les bords du Mékong. Je me sens bien, fière et paisible.

 

Effet de la rivière, effet de l’arrivée, effet du coucher de soleil, je me sens euphorique de cette arrivée. À l’entrée, le type me regarde lui tendre un dollar et me dit : « pour vous, c’est gratuit ». Un peu genre: "Tu me fais tellement pitié que je suis mort de rire et je te laisser passer gratos avec tes sacs plastiques et ton vélo qui grince!" Traversée sur un ferry d’une autre époque. Temps suspendu sur cette rivière avec le coucher de soleil qui clôture une magnifique année 2013 pleine de rencontres et de surprises. Je traverse le fleuve comme on passe une nouvelle année. Sans vraiment sentir la différence, mais en sachant que de l’autre côté, de nouvelles aventures m’attendent !

 

L'album photo:

http://sarahconte.over-blog.com/album-2191979.html

 

Le voyage vu par François avec d'autres photos:

http://animateurssansfrontieres.centres-sociaux.fr/


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commentaires

F
merci pour tes voeux ma belle! j'ai imprimé tes 3 dernières chroniques pour que Bertrand les donne à Mamic (il est chez elle ce soir), saine lecture, j'espère qu'elle appréciera autant que moi.<br /> Bises tout plein, de tout coeur avec toi
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S
<br /> <br /> Super, je suis sure que ça fera plaisir à Mamig! bisous et merci<br /> <br /> <br /> <br />
F
cette fille est folle, mais tu peux être fière en effet!!
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S
<br /> <br /> folle, tout est question de point de vue! bonne année Françoise et plein de bisous depuis le Cambodge!<br /> <br /> <br /> <br />
C
Salut LADY Sarah,<br /> <br /> Quel joie de te lire en 2014 ... C'est aussi prenant que l'année dernière ! Et quel plaisir de te suivre, de se perdre, de râler, de suer, de vivre ce que tu vis ! Quand j'ai fini la lecture, il me<br /> faut un peu de temps pour reprendre conscinece du lieu où je suis - non, c'est pas le commissariat de Machin Vat, mais mon bureau confortable ..- Par contre, qu'est ce que c'est difficile de te<br /> suivre ! J'étais aussi paumé que toi dans la forêt et sur les pistes de terre rouge, mais, moi j'ai réussi à trouver POU ! Il se trouve là : 13°51'59.89" Nord et 105° 0'58.66" Est ! Bon, ne refais<br /> quand même pas le chemin pour y aller ... J'ai beaucoup aimé voir la petite tortue au Cambodge ... Bon vent my lady ! Take care !
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S
<br /> <br /> Merci Claude, <br /> <br /> <br /> j'espère que tu as passé un bon Noel et un bon réveillon du 31. François dit qu'on aurait fait les courses à Pou... Je sais que je suis difficile à suivre, mais la route aussi est difficile à<br /> suivre!!!<br /> <br /> <br /> Et maintenant, on a perdu notre carte routière (avec les fausses routes) en se baladant... Donc, ça va être encore pire! <br /> <br /> <br /> bises<br /> <br /> <br /> <br />
A
Quand j'pense que moi,j'ai la trouille en forêt d'Ermenonville,même un dimanche après-midi,en famille!!!
Répondre
S
<br /> <br /> je pourrai t'enseigner le bivouac en frêt d'Ermenonville si tu veux!!!<br /> <br /> <br /> <br />